L'avortement n'est pas un droit, mais un crime


Parmi tous les crimes que l’homme peut commette contre la vie, l’avortement provoqué a des caractéristiques que le Concile Vatican II a défini abominables.

L’acceptation de l’avortement dans la mentalité, dans la costume comme dans la loi, est un signe d’une perte dangereuse de la capacité de distinguer entre le bien et le mal, aussi quand il s’agit du droit fondamental à la vie.

En face à une situation si grave on doit avoir du courage et appeler les choses avec leurs noms. Dans le cas de l’avortement on voit la diffusion de mots ambiguës qui tendent à cacher sa nature, à atténuer sa gravité. En lieu de parler d’avortement on dit : interruption de la grossesse.

Cette façon de parler ne veut pas seulement tromper l’opinion publique, mais aussi cacher une certaine gêne de la conscience. Mais aucun mot peut changer la réalité. L’avortement provoqué est, quelconque soit la façon utilisée, le meurtre voulu d’un être humain dans le temps qui court entre la conception et la naissance.

L’avortement est un crime qui devient particulièrement grave parce qu’on tue un être humain qui se montre à la vie et qui est le plus innocent des hommes. Il ne peut pas être considéré un agresseur et néanmoins un agresseur injuste. Cet être humain est fragile, sans défense, sans même quelle moindre forme de défense qui sont les larmes du nouveau-né. Il est complètement confié à la garde de celle qui le prend dans son ventre. Cependant c’est souvent elle, la mère, qui en demande la morte ou qui la cause.

© 2004 - Adorto                

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