Des autres responsabilités


Prés de la mère il y a toujours des autres personnes qui sont responsables de l’avortement.Avant tout il y a le père, quand il pousse la femme à l’avortement ou quand il la laisse seul en face des problèmes de la grossesse : ainsi la famille est blessée mortellement et profanée comme communauté d’amour, appelée à être un sanctuaire de la vie.

Il y a les sollicitations des parents et des amis, ainsi que la femme est soumise à des pressions tellement fortes qu’elle se sente psychologiquement contrainte à céder à l’avortement.

Les médecins et le personnel sanitaire sont aussi responsables, quand ils mettent au service de la morte la compétence qui a acquise pour promouvoir la vie.

La responsabilité est aussi des législateurs qui ont promu et approuvé les lois abortives et des administrateurs des structures sanitaires qui sont utilisées pour pratiquer les avortements, dans la mesure dans laquelle la chose dépende de leur.

La responsabilité s’en grandit à ceux qui ont favori la diffusion d’une mentalité de permission sexuelle et de sous estimation de la maternité, qui ont promu des politiques familiales et sociales à soutient des familles, surtout de celles nombreuses ou avec des difficultés économiques et éducatives, aux institutions internationales, aux fondations et associations qui combattent avec quelconque moyen pour la légalisation et la diffusion de l’avortement dans le monde entier.

Ainsi l’avortement va autre la responsabilité de chaque personne et assume une dimension sociale : c’est une blessons très grave faite à la société et à sa culture par ceux qui devraient en être les défenseurs. Dans une société organisée et directe comme ça, il y a une structure du pêché contre la vie humaine qui n’est pas encore née.

© 2004 - Adorto                

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