Chiffres impressionantes

 

Selon les données fournies par le ministre de la santé en Italie, du 1978 au 1999, les avortements légalisés ont été 3.818.383.

A ceux là on doit ajouter des autres 840.000 avortements clandestins, qui ont été pratiqués pendant les années indiqués au dessus. Et ça c’ est une estimation plus en défaut que en excès.

Parmi les avortements légalisés et clandestins, du 1978 au 1999, en Italie étaient tués 4.658.383 enfants. Si on avait donné la sépulture a tous ces enfants tués, comme on aurait du faire (et il y a même des cimentières pour les chiens et pour des autres animaux), on devrait construire 4.658.383 tombes.

Quel immense cimetière !

Aux avortements clandestines et légalisés on doit ajouter ceux qui sont provoqués par les produits chimiques, avec celle qu’on appelle " pillule du lendemain ", sans demander l’aide du médecin. Ces sont des avortements vrais aussi, même si quelqu’un s’obstine à dire que ces médicaments sont seulement des anticonceptionnels, parce qu’ils empêchent le début de la grossesse. Ignorance ou mauvaise fois ? La pillule du lendemain empêche à l’ovule fécondé d’entrer dans l’utérus, où on trouve sa siège naturelle pour continuer son développement. C’est ainsi qu’on le tue. En ce cas il s’agit du meurtre d’un être humain, comme on a déjà dit.

L’Italie a un triste primat pas seulement en Europe, mais aussi dans le monde entier et c’est la dénatalité, avec ses conséquences sociales et économiques. Si nous avions les quatre millions d’italiens tués avec l’avortement provoqué par l’aide d’un médecin, sans compter ceux qui ont été tués par les produits chimiques, aujourd’hui nous aurions besoin des immigrés, que quelqu’un considère une ressource précieuse. On avait la véritable richesse et on l’avait jetée dans la poubelle. Ca a été un jeannotisme, une destruction en masse des enfants italiens qui voulaient vivre avec toutes leurs forces.

Si notre égard s’étende aux autres pays du monde, nous regardons que chaque année les avortements rejoindrent la chiffre effrayante de dizaines et dizaines de millions.

© 2004 - Adorto                

Vous êtes en train de lire : " L’avortement n’est pas un droit mais un crime "

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

Partie 5

Cliquez ici pour retourner à la page d’accueil